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UN AIR PUR, UN ENVIRONNEMENT SÛR

Importance de la purification de l’air

Alors que le COVID-19 n’est peut-être plus une priorité pour certaines organisations, des enquêtes récentes et la poursuite des travaux de recherche montrent que la nécessité d’améliorer la qualité de l’air intérieur n’est pas près de s’estomper. L’impact mondial dévastateur de la dernière pandémie a modifié de façon permanente la perception du public sur la qualité de l’air intérieur et les changements que doivent apporter les organisations. Les employés sont conscients de l’impact que peut avoir la qualité de l’air sur leur santé.

Les chercheurs en santé publique, les associations nationales et la Maison-Blanche, qui ont tous reconnu le rôle que les employeurs, les entrepreneurs et les consultants peuvent jouer dans la conception et l’amélioration des lieux de travail pour améliorer la qualité de l’air intérieur (QAI), ont poussé à l’assainissement de l’air intérieur sur nos lieux de travail. Fellowes a mené une enquête auprès de plus de 1 000 employés et a constaté que seule 1 personne sur 4 au Canada considère que l’air de son lieu de travail est très propre. Cependant, 93 % des personnes interrogées reconnaissent qu’un air intérieur propre les aide à donner le meilleur d’eux-mêmes au travail.

La gestion de la qualité de l’air intérieur est là pour durer

Selon l’enquête annuelle de Fellowes sur la qualité de l’air, seulement 29 % des personnes interrogées (33 % des Américains et 25 % des Canadiens) ont qualifié la qualité de l’air sur leur lieu de travail de « très propre ». Ce chiffre indique une baisse notable par rapport aux 36 % rapportés dans une enquête de Fellowes en 2022.

Facteurs contribuant à une mauvaise QAI déclarés par les employés
Air stagnant ou circulation inadéquate
Niveaux d’humidité
Manifestations de moisissures, taches, poussières et particules en suspension dans l’air
Odeurs perceptibles
SOURCE : Fellowes a mené une enquête du 25 au 29 août 2023 sur la qualité de l’air intérieur via SurveyMonkey Audience auprès de 1 085 adultes américains (585) et canadiens (500) qui travaillent au moins une journée entière par semaine à l’intérieur sur le site de leur employeur. La marge d’erreur de l’enquête était de +/- 3 % à un niveau de confiance de 95 %.
Priorité à la QAI plutôt qu’aux aménagements du lieu de travail :

Les travailleurs américains et canadiens accordent une grande importance à la propreté de l’espace de travail intérieur par rapport aux avantages conventionnels du lieu de travail, la classant au premier rang de leurs préférences en matière d’améliorations du lieu de travail. Environ une personne interrogée sur trois (31 %) a déclaré qu’elle envisagerait de quitter son emploi en raison de problèmes liés à une mauvaise qualité de l’air intérieur. Les travailleurs d’aujourd’hui sont mieux informés des risques associés à une mauvaise qualité de l’air et attendent de leurs employeurs qu’ils apportent les améliorations nécessaires pour assurer leur sécurité et leur productivité au travail.

Comment les virus se propagent dans l’air

Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont reconnu ce que de nombreux chercheurs et scientifiques préconisaient depuis longtemps : les virus peuvent être transmis par voie aérienne. Ce phénomène connu sous le nom d’aérosolisation signifie que les gouttelettes respiratoires de matière infectée, comme le fluide des éternuements et de la toux d’une personne infectée, peuvent se déplacer dans l’air, infectant potentiellement les personnes se trouvant à proximité. Qui plus est, cette déclaration confirme également que le virus peut parcourir plus de six pieds en suspension dans l’air.

Les gouttelettes provenant d’un simple éternuement peuvent rapidement contaminer une pièce entière et subsister dans l’air pendant de longues périodes.

Quelle est la distance parcourue par les particules?

Toux : 3 à 6 pieds
Sneeze: Éternuements : 10 à 27 pieds
HVAC Systems: Système de CVC : 150+ pieds
Plan d’atténuation du risque multiniveaux pour améliorer la qualité de l’air intérieur

En quoi cette information doit-elle modifier nos protocoles de prévention des infections?

Il est temps de changer notre façon de concevoir l’hygiène intérieure. Comme le dit si bien Bloomberg : « Demandez des filtres à air, pas de l’eau de Javel. » Nous avons pris des mesures rigoureuses pour éliminer la contamination des surfaces, il est temps d’accorder la même attention à l’air.

Selon le Harvard Schools for Health, la solution la plus idéale consiste à faire entrer de l’air frais extérieur dans une pièce. Malheureusement, ce n’est pas la solution la plus viable dans de nombreux environnements. Si les systèmes CVC fonctionnent pour faire recirculer l’air, ils ne le purifient pas. C’est pourquoi il est recommandé d’utiliser une filtration HEPA en plus des systèmes CVC pour assurer une ventilation et une filtration correctes.

L’installation de filtres HEPA dans les systèmes de CVC existants n’améliorera pas la qualité de l’air des bâtiments. Les filtres HEPA sont encombrants et réussissent mieux à piéger les germes dans la zone directe près de la prise d’air. Ces filtres réduisent l’efficacité des systèmes CVC et le débit d’air.

Se concentrer sur la purification, plutôt que sur le brassage de l’air

En installant des purificateurs d’air utilisant une filtration HEPA dans les zones clés, vous pouvez augmenter l’efficacité des systèmes CVC en permettant non seulement de déplacer l’air, mais aussi de le purifier.

Cela dit, il est essentiel de comprendre d’abord la différence entre une filtration de type HEPA et une filtration HEPA véritable pour s’assurer que vous et respirez un air pur.

Dans une lettre ouverte

Un groupe de 239 scientifiques de 32 pays a publié une lettre ouverte à la communauté mondiale de la santé afin de présenter des preuves supplémentaires. Dans leur lettre, ce groupe hautement qualifié déclare :

  • De multiples études "ont démontré au-delà de tout doute raisonnable que les virus sont libérés lors de l’expiration, de la conversation et de la toux, sous forme de microgouttelettes suffisamment petites pour rester en suspension dans l’air". in microdroplets small enough to remain aloft in the air”
  • Ces microgouttelettes “pose a risk of exposure at distances beyond [3 to 6 feet] from an infected person”
  • “Nous préconisons l’utilisation de mesures préventives pour atténuer cette forme de transmission par voie aérienne."
           
Ça ne se limite pas aux virus

Il va sans dire que la pandémie mondiale de la COVID-19 a suscité un intérêt sans précédent sur la qualité de l’air intérieur. En conséquence, la filtration HEPA — qui était auparavant réservée presque exclusivement aux hôpitaux, aux laboratoires et à d’autres environnements sensibles — se généralise aujourd’hui aux bâtiments les plus divers.

Selon l’EPA, nous passons environ 90 % de notre temps à l’intérieur, dont près de la moitié sur notre lieu de travail. La mauvaise qualité de l’air intérieur ne doit pas être négligée non plus : l’EPA la considère comme la quatrième menace environnementale pour notre pays.

C’est dans l’air!

Odeurs

La présence d’odeurs peut avoir une incidence négative sur votre établissement. Les odeurs des salles de bain, des cantines, ou l’air vicié, entre autres, sont les principaux motifs de plainte reçus par les gérants d’immeubles.

Germes, bactéries et autres virus

Les experts s’accordent à dire que le virus de la grippe se propage principalement par des gouttelettes en suspension dans l’air. Ces gouttelettes sont produites lorsque les gens toussent, éternuent ou parlent. Malgré les vaccins contre la grippe et la désinfection des mains, les Canadiens attrapent encore environ un milliard de rhumes et l’on compte en moyenne 12 200 hospitalisations et 3 500 décès liés à la grippe chaque année.

Allergènes

Les allergies respiratoires telles que la rhinite allergique affecte 1 personne sur 5 au pays. Les réactions allergiques peuvent être déclenchées par des irritants tels que le pollen saisonnier ou l’herbe à poux, les moisissures, les squames d’animaux et les acariens. Plus de 3,8 millions de Canadiens souffrent d’asthme – un asthme déclenché par les allergènes présents dans l’air.

Autres irritants

Les composés organiques volatils (COV) sont des substances chimiques nocives émises par les produits de tous les jours, parfois même lorsqu’ils sont entreposés. Les peintures, les produits de nettoyage, les équipements de bureau et autres peuvent contenir des COV. Ces COV peuvent potentiellement déclencher des maux de tête, de l’asthme et des crises d’allergie. Parmi les autres contaminants en suspension dans l’air, citons :

  • Les spores de moisissure
  • Les odeurs et squames d’animaux
  • La fumée de cigarette
  • Les particules fines
  • La fumée de cigarette
  • Les particules fines
  • Bactéries
  • La pollution atmosphérique
La pollution atmosphérique due aux incendies de forêt

Selon une étude récente publiée par la revue Geohealth, la fumée des incendies de forêt représente désormais plus de la moitié de la pollution atmosphérique mesurée chaque année dans la région occidentale. Pire encore, la pollution causée par les feux de forêt ne se limite pas à la fumée créée par le bois et la braise, elle englobe les COV provenant des maisons prises dans les feux croisés. Ces irritants peuvent compromettre les systèmes respiratoires et même potentiellement propager la COVID-19.

Importance de la taille

S’il est important de comprendre ce qui se trouve dans l’air, il est également important de comprendre la taille des particules et son impact sur les occupants. L’œil humain ne peut voir que 25 microns et au-delà. Les microns inférieurs à ces tailles sont ceux qui présentent un risque potentiellement plus important, car ils sont suffisamment petits pour pénétrer dans vos poumons.

Les cheveux humains
100 microns
Pollen
30 microns
Smoke
1 micron
Bacteria
0.3 microns
Les répercussions de la mauvaise qualité de l’air sur l’économie
$16.6
MILLIARDS DE DOLLARS
On estime que 16,8 milliards de dollars se volatilisent chaque année dans l’économie canadienne en raison de la perte de productivité due aux jours de maladie.
11.6
Days Lost
Avec une moyenne de 11,6 jours non travaillés par an pour les employés à temps plein, l’absentéisme affecte rapidement les résultats financiers. 
Mauvaise qualité
de l’air intérieur
La mauvaise qualité de l’air intérieur, exacerbée par les bactéries, les virus et les germes, se propage d’un employé à l’autre et d’un visiteur à l’autre, ce qui rend les gens malades.

SOURCES:

https://www.mercer.com/en-ca/insights/total-rewards/employee-wellbeing/how-much-are-you-losing-to-absenteeism/
Work absence of full-time employees by geography, annual, inactive (statcan.gc.ca)

Se protéger en purifiant l’air

L’air intérieur est chargé de contaminants potentiels allant des virus aux COV (composés organiques volatils) en passant par la poussière ordinaire. Une ventilation adéquate combinée à des échanges d’air purifié est la meilleure façon de réduire la présence de ces contaminants, maintenant ainsi des conditions de vie et de travail saines.

L’importance du taux de renouvellement de l’air

Les lieux de travail abondent en contaminants potentiels allant des virus aux COV (composés organiques volatils) en passant par la poussière ordinaire. Une ventilation adéquate combinée à des échanges d’air est la meilleure façon de réduire la présence de ces contaminants, maintenant ainsi des conditions de travail saines. Le renouvellement de l’air par heure (RAH) est une mesure du volume d’air qui peut être ajouté/enlevé d’un espace en une heure.

Pourquoi le RAH est-il important?

D’autres systèmes de purification de l’air indiquent les surfaces couvertes en pieds carrés, mais cela ne correspond pas au nombre de renouvellements d’air qu’un système peut effectuer en une heure. Plus le nombre de renouvellements par heure est élevé, plus l’air est purifié rapidement et plus les contaminants sont éliminés rapidement. Une machine conçue pour les petites entreprises peut ne renouveler l’air qu’une fois par heure, ce qui n’est pas suffisant pour des endroits comme les salles de conférence où les gens se rassemblent.

           
Comment le RAH est-il calculé?

Cela peut sembler complexe, mais le calcul est simple :

Qu’est-ce qu’un bon RAH?

En général, un renouvellement de l’air par heure de 5 signifie que votre air est purifié toutes les 12 minutes. Vous devriez viser 3 à 5 renouvellements d’air par heure. Une solution offrant une filtration supérieure et un plus grand nombre de renouvellements d’air par heure sera plus efficace pour maintenir la qualité de l’air. Harvard Schools for Health, il est recommandé d’utiliser une filtration HEPA en plus des systèmes CVC pour assurer une ventilation et une filtration adéquates.